Passer quelque temps en Italie après la crise du coronavirus

L’Italie reste une destination de choix après tout ce qu’elle a enduré dernièrement. Ce pays regorge de beaux endroits qui méritent d’être découverts. Venise, Rome ou Milan, toutes les villes touristiques sont désormais accessibles. L’État a déjà ouvert ses frontières aux voyageurs du monde entier. Il n’y a plus de procédure de quarantaine stricte comme ailleurs. Puis, le trajet peut se passer en train ou en bus si vous vous trouvez en France ou en Europe. Savourez bien les pizzas, les tagliatelles et les vins du Sud.

Vivre un voyage mémorable en France

La France demeure en pole position des destinations touristiques les plus prisées au monde. Paris et la tour Eiffel a enregistré des millions de visiteurs par an. Le secteur reprend timidement avec le rétablissement des vols internationaux. Si la foule dans la capitale et les plages méditerranéennes ne vous rassurent pas, vous pouvez vous tourner vers le lac de Serre-Ponçon au cœur des Alpes du Sud. De très nombreux campings permettent également de respecter la distanciation sociale. L’Hexagone en compte 8 000 établissements dont beaucoup sont étoilés.

Apprécier le séjour sur les îles françaises

Si vous éprouvez des envies de plage, il est possible de partir en Corse. Cette île française accueille des touristes du monde entier. Le voyageur doit juste présenter une déclaration sur l’honneur qu’il n’a pas le covid-19. C’est l’unique condition pour embarquer à bord d’un avion si vous êtes en Métropole. Pour ceux qui souhaitent passer des vacances sous le soleil indien, il faudra venir à la Réunion. Ce département français d’outre-mer exige juste le port de masque dans les endroits publics. Il n’y a pas de quarantaine obligatoire.

L’assurance retour est une précaution indispensable après une expatriation

Les candidats à l’expatriation perdent leur droit à la Sécurité sociale en France dès leur affiliation à la CFE. Cela évite tout doublon. C’est une manière de leur exiger une régularisation de leur situation. Dans tous les cas, il faut faire une certaine démarche et respecter les conditions de l’administration. Cela implique que la personne devrait trouver rapidement un emploi. Il peut aussi endosser le statut d’étudiant. La carence est de 3 mois pendant lesquels la Sécu reste inactive. C’est la raison pour laquelle il faut souscrire à une « assurance retour ». Comme son nom l’indique, ce contrat concerne les expatriés. Ces derniers bénéficient de couverture pour les frais de santé et les conséquences d’accident. Ils jouissent aussi d’une indemnité en cas d’arrêt maladie.

Le tarif ainsi que les conditions possibles

Les conditions d’admission à une assurance de retour sont relativement simples. Il faudra résider en France et revenir d’un long séjour à l’étranger. L’adhérent a l’obligation de souscrire à une police quelques jours après son arrivée sur le territoire. La durée du contrat est limitée à 2 semaines au minimum. Le maximum est d’une année entière. Il faut présenter un numéro de Sécurité sociale en l’occurrence celui de la CFE. Pour les tarifs, la cotisation change en fonction de l’âge de l’assuré. Un adhérent de moins de trente ans paie 91 euros pour un mois alors qu’un adulte de 45 ans devrait débourser 125 euros. Les maladies antérieures à la signature du contrat ainsi que les sinistres provoqués sont exclus. C’est aussi le cas des médecines de confort, en l’occurrence les soins dentaires non essentiels.

Imprégnez-vous de la culture de votre destination

La découverte fait intégralement partie du voyage. D’ailleurs, découvrir de nouvelles terres, de nouvelles personnes, de nouvelles cultures et de nouvelles saveurs est l’un des plus grands plaisirs que vous puissiez éprouver lorsque vous voyagez. Pour concilier plaisir et devoir donc, osez adopter un nouveau mode de vie. Imprégnez-vous de la culture locale et vivez différemment de votre quotidien (ne serait-ce que durant le séjour). Optez pour la nouvelle tendance de l’hébergement chez l’habitant. Choisissez les transports en commun pour vos déplacements. Mangez les plats locaux et savourez les plats typiques. Puis, ne négociez pas tout ce que vous achetez lors de vos achats. Soyez raisonnables et ayez la sagesse de reconnaître les services à leur juste valeur.

Privilégiez les logements écoresponsables

L’idéal serait de choisir l’hébergement chez l’habitant. Mais il est vrai qu’il n’est toujours facile de trouver des locaux qui en proposent. À défaut de ce mode d’hébergement donc, préférez les logements qui sont gérés et tenus par des locaux. Ce geste vous permet d’ores et déjà de participer activement au développement du tourisme local. En fait, les établissements hôteliers de luxe peuvent parfois créer de grandes inégalités et disparités sur le territoire puisque leurs politiques ne sont pas forcément en adéquation avec la dynamique locale. Aussi, n’hésitez pas à vous renseigner sur les politiques environnementales de l’hébergement de votre hébergement. Posez les bonnes questions aux responsables. L’établissement se soucie-t-il de la réduction de la consommation d’énergie et d’eau ? Fait-il du tri et du recyclage ? etc.

Soyez des aventuriers respectueux

S’imprégner de la culture locale c’est bien ! Toutefois, il est très important que vous sachiez rester à votre place lorsque cela est nécessaire. Dans la plupart des destinations, il existe toujours des zones protégées qui ne sont pas ouvertes aux visiteurs et aux grands publics. Tâchez de toujours respecter les restrictions qui vous sont imposées. Rappelez-vous aussi que les locaux peuvent être sensibles aux visites des étrangers. Parfois, ils peuvent se sentir en danger, dans la mesure où ils peuvent considérer votre présence comme étant un facteur qui perturbe leur environnement ainsi que leurs habitudes. Essayez donc de ne pas les brusquer. Sinon, la meilleure manière de vous faire rapidement accepter serait de vous faire accompagner par un guide local. Il saura mieux vous orienter sur les choses à faire et à ne pas faire. Sinon, veillez à bien gérer vos déchets. Moins il y en a, mieux ce sera.  

Sortez de votre zone de confort

Vous avez certainement dû entendre ce conseil de nombreuses fois au cours de votre vie. Seulement, il est possible que vous ayez du mal à bien cerner ce que « sortir de la zone de confort » signifie réellement. Dans la pratique, votre zone de confort est constituée de toutes vos habitudes, de vos manières d’être habituelles ainsi que des activités que vous effectuez usuellement. Il s’agit donc de la zone au sein de laquelle vous vous sentez en sécurité. Or, cette zone constitue une limite. Sortir de la zone de confort n’est donc pas qu’une simple expression. Cela signifie que vous devez vous donner la chance d’essayer de nouvelles expériences. Voyez votre voyage comme étant une opportunité de découvrir et d’apprendre de nouvelles choses. Osez aller vers des choses qui vous sont complètement inconnues. Si ce que vous découvrez vous plaît, c’est tant mieux. Si c’est le cas contraire, n’ayez aucun regret. Voyez-le seulement comme une expérience qui a mérité d’être vue ou vécue.

Soyez réactif et positif

En voyage, même si vous vous êtes préparé du mieux que vous le pouviez, vous ne pouvez pas avoir la totale assurance que vous ne serez jamais confronté à des problèmes. En fait, rien ni personne n’est entièrement à l’abri des imprévus. Vol annulé à la dernière minute, réservation non enregistrée, panne de transport… La liste peut être très longue. Lorsque vous vous retrouvez face à n’importe quelle difficulté lors de voyage, tâchez de toujours trouver des solutions le plus rapidement possibles. Il ne sert à rien de vos lamentés sur votre sort. Prenez les choses en main. Plus vite vous arrivez à vous sortir de la situation difficile, plus vite vous pourrez poursuivre votre aventure et profiter au maximum de votre voyage. Et la meilleure manière de trouver rapidement une solution rationnelle face à un problème est d’avoir le « positive mind ». Soyez positif, pragmatique et optimiste et vous arriverez même à apprécier la phase difficile dans laquelle vous vous situez. Vous accepterez que les petits obstacles fassent partie de votre voyage, de votre aventure et des nouvelles choses à découvrir.  

Le visa « eVisitor »

Ce type de visa est totalement gratuit et s’obtient assez facilement. Pour demander un visa eVisitor, il vous suffit de vous rendre directement sur le site Internet du bureau d’immigration australien. Eh oui ! La demande de celui-ci se fait directement en ligne et n’occasionne aucune complication. Un visa eVisitor a une validité de 1 an. Il vous permet ainsi de venir en Australie à chaque fois que vous le souhaitez. Seulement, il faut que chacun de vos séjours ne dure pas plus de 90 jours. Il est à noter que 35 pays, incluant la France, sont éligibles à ce visa.

Le visa « ETA »

Le visa Electronic Travel Authority (dit ETA) est principalement destiné aux touristes dont le pays d’origine n’a pas conclu un accord pour le visa eVisitor avec le gouvernement australien. Aussi, il est indiqué pour les courts séjours, avec une validité semblable à celle de l’eVisitor (c’est-à-dire 1 an). Outre cela, le visa ETA est quasiment gratuit. En effet, son cout d’émission est défini à seulement 20 dollars australiens.

Le visa de visiteur

Pour un voyage de plus de trois mois sur le territoire australien, il est recommandé de faire une demande de visa de visiteur. Plus approprié, il vous permet de séjourner pendant 12 mois d’affilé sur l’île. Ce visa vous permettra même de prolonger votre voyage une fois que vous arriviez en Australie. Il est dès lors possible d’en obtenir un après que vous ayez quitté votre pays d’origine (ou un autre) avec un visa eVisitor ou un ETA. À la différence des deux types de visas cités précédemment, celui-ci coûte un peu plus cher.
Attention ! Pour obtenir, ses trois types de visas vous permettent uniquement de séjourner sur l’île en tant que touriste. Vous ne pourrez pas y travailler ou pratiquer des activités qui vous permettent de toucher une quelconque rémunération.  

Choisir le bon camping-car

Votre camping-car n’est pas seulement un moyen de locomotion. Il sera aussi votre nouveau petit « chez vous ». Ce sera l’endroit où vous allez dormir, préparer et prendre vos repas, faire vos toilettes, etc. Ainsi, la première chose à faire pour que votre aventure soit une réussite serait de choisir le bon véhicule. Choisissez un modèle dont la taille et les options disponibles sauront répondre à vos besoins. Chaque camping-car a ses propres équipements de base et ses agencements. À titre d’exemple, un camping-car proposant une grande autonomie en eau vous sera recommandé si vous prévoyez de faire un camping sauvage.

S’équiper d’un GPS pour camping-car

Réussir un voyage en camping-car c’est aussi éviter de se perdre en chemin. C’est pourquoi il est vivement conseillé de toujours se munir d’un GPS. Il s’agit d’un dispositif de navigation spécialement conçu pour les voyages en camping-car. Celui-ci est capable de prendre en compte les différentes caractéristiques de votre véhicule (taille, poids et vitesse) afin de mieux vous diriger dans votre trajet. Autrement dit, il est capable de vous proposer un itinéraire qui est le plus adapté à votre véhicule. Lors de votre achat, faites-vous conseiller par votre vendeur au cas où vous êtes vraiment novices en la matière. Préférez les modèles qui possèdent une très large base de données pour que vous puissiez avoir plus d’options lorsque vous recherchez des points d’intérêts, des aires de repos, des lieux de camping à proximité ou encore des stations-service. Ceci étant, l’utilisation du GPS ne signifie pas que vous devez oublier la traditionnelle carte.

Etre prévoyant

Avant de prendre la route et partir à l’aventure, assurez-vous d’abord que vous disposez de tous les équipements techniques nécessaires. Pensez par exemple à apporter des cales, des cordes, une trousse à outils, une lampe extérieure, des tables et des chaises, etc. Faites la liste des équipements de vie dont vous pourrez en avoir besoin pour ne rien oublier (carnet de bord, couvert et ustensiles de cuisine, produits de nettoyage…). Des équipements de loisirs (jouets, jeux de société, livres, ballon, vélos, etc.). Outre cela, gérez bien l’autonomie de votre camping-car. L’autonomie en eau, en électricité, en gaz et en essence varie d’un camping-car à un autre, mais aussi selon vos besoins. Tâchez donc de bien prendre en compte chaque détail.